una carrera a l’ombra d’Édith Piaf
L’any 1949 la cantant i mite francesa Édith Piaf escrivia la lletra de la cançó L’hymne a l’amour. Aquella era tota una declaració destinada al gran amor de la seva vida, el boxejador Marcel Cerdan. “Déu uneix aquells que s’estimen”, diu el premonitori final de la cançó. Només un mes després d’estrenar-la, a Nova York, Cerdan moria en un tràgic accident d’aviació. A partir d’aleshores, Piaf, amb la seva veu trencada, com la seva vida, convertiria aquell himne en tot un símbol. Però potser el que molts de vosaltres no sabeu és que al darrere d’aquella melodia, a l’ombra de Piaf durant 25 anys, s’hi amagava una dona: la pianista i compositora francesa Marguerite Monnot.
‘L’HYMNE A L’AMOUR’
Le ciel bleu sur nous peut s’effondrer
Et la terre peut bien s’écrouler
Peu m’importe si tu m’aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu’l'amour inond’ra mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m’importe les problèmes
Mon amour puisque tu m’aimes
Et la terre peut bien s’écrouler
Peu m’importe si tu m’aimes
Je me fous du monde entier
Tant qu’l'amour inond’ra mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains
Peu m’importe les problèmes
Mon amour puisque tu m’aimes
J’irais jusqu’au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J’irais décrocher la lune
J’irais voler la fortune
Si tu me le demandais
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J’irais décrocher la lune
J’irais voler la fortune
Si tu me le demandais
Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n’importe quoi
Si tu me le demandais
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n’importe quoi
Si tu me le demandais
Si un jour la vie t’arrache à moi
Si tu meurs que tu sois loin de moi
Peu m’importe si tu m’aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l’éternité
Dans le bleu de toute l’immensité
Dans le ciel plus de problèmes
Mon amour crois-tu qu’on s’aime
Dieu réunit ceux qui s’aiment
Si tu meurs que tu sois loin de moi
Peu m’importe si tu m’aimes
Car moi je mourrais aussi
Nous aurons pour nous l’éternité
Dans le bleu de toute l’immensité
Dans le ciel plus de problèmes
Mon amour crois-tu qu’on s’aime
Dieu réunit ceux qui s’aiment